Courir, la clé du bonheur ?

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Courir, ça fait mal

Voilà une idée reçue qui n’a pas volé sa réputation. Mais dire que courir fait mal est un peu radical. Car, avant de faire mal, courir fait surtout du bien.
Pourquoi ? Car cela nous permet de quitter notre zone de confort adorée. Parler de zone de confort est très en vogue, et pour cause, c’est bel et bien ce que prise l’ère actuelle des trails et autres défis populaires visant à charger les pattes et la tête. Ainsi, courir permet de vaincre la légendaire flemme, de gagner en courage et de prendre une bonne dose de liberté (et d’endorphines) en traversant une averse. Courir, c’est avoir mal aux jambes et ne pas s’arrêter pour autant, et se faire violence pour pulvériser son chrono du dernier-tour-de-pâté-de-maisons avant d’arriver chez soi. Alors, si tout cela n’était uniquement que souffrance, pourquoi aurait-on envie de rechausser nos baskets dès le lendemain ?

La liberté résumée en une paire de baskets

« Courir, c’est la liberté. Il suffit simplement d’avoir une paire de baskets. On peut y aller quand on veut, le matin ou le soir. Où on veut, en ville ou à la campagne. La progression y est rapide et relativement facile. C’est toute cette liberté d’esprit qui fait le succès de ce sport » , analyse le médecin responsable de l’équipe de France de cross-country et de demi-fond.

Comme quoi, la liberté est aussi simple qu’une paire de baskets que l’on choisit d’enfiler, ou pas !

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